
C’est la chanson que j’ai entendue par hasard sur un autoradio à Londres qui m’a fait découvrir Jean-Louis Murat. Je ne suis pas la seule à l’avoir découvert grâce à cette chanson. Il est d’ailleurs étonnant qu’il ne l’ait pratiquement jamais interprétée en concert.
Jean-Louis Murat a peut-être estimé que la chanson ne se prêtait pas de manière satisfaisante à une version live. La version enregistrée, avec ses notes de synthé soutenues, ses chiens qui aboient et son tempo hypnotique, transmet l’idée d’un paysage vaste et hostile d’une manière que la version live (tournée Vénus) ne transmet pas. Il n’y a rien de mieux à faire en Auvergne que de visiter le véritable Col de la Croix-Morand avec cette chanson en fond sonore.
Voir aussi la version maxi (qui est plus courte!), le collage sonore Croix-Morand et Le lait des narcisses.